Depuis le 1er Octobre 2010, est entré en vigueur le nouveau code de la route au Maroc. Outre l’instauration du permis à points, la mise en place de radars automatiques et de toute une série de mesures plus draconiennes les unes que les autres, ce nouveau code de la route – que vous pouvez consulter ici si ça vous chante – a, entre autres, pour objectif de, je cite: “clarifier les droits et les devoirs des usagers de la route et de promouvoir une culture qui prône l’usage sûr et responsable de la voie publique” mais aussi et surtout de faire baisser le nombre incroyable de tués et blessés sur les routes jugées parmi les plus meurtrières de la planète.

Même si beaucoup pensent que c’est loin d’être gagné – et en effet, ça l’est – (lire ce billet très révélateur), nous chez Carsalis, on est confiants. On y croit et on l’espère surtout très fort (ouvrez une agence de location de voitures au Maroc et vous comprendrez notre enthousiasme). De toutes façons, ça ne peut qu’évoluer dans le bon sens in shaa-Llah.

Reste que ce nouveau code de la route et plus particulièrement la mise en place de radars automatiques soulève quelques questions importantes, pour nous autres, loueurs de voitures. Si un client, venu passer ses vacances au Maroc,  se fait flasher sur l’autoroute à 180 km/h avec une Dacia Logan de location alors qu’il se dirige vers l’aéroport d’Agadir pour prendre son avion et rentrer chez lui. Qui va payer l’amende? Qui sera jugé responsable de l’infraction une fois la contravention reçue à l’agence quelques jours plus tard? Comment les administrations compétentes vont-elles aborder le problème?